L’homme de fer

L’homme de fer a perdu son cœur de métal,
Dans les dédales froids de la ville d’acier,
Sa poitrine, jadis impénétrable muraille,
S’ouvre aux émotions, fragiles lueurs.

Les rouages grincent, témoins du changement,
Le froid de l’acier s’adoucit lentement,
Des sentiments émergent, en doux crépitements,
L’homme de fer découvre l’écho du battant.

Son regard, jadis d’acier, s’illumine,
Les lueurs d’une humanité en chemin,
L’homme de fer, à présent, est en quête.

Il découvre la chaleur, les nuances divines,
Son cœur, jadis mécanique, palpite enfin,
L’homme de fer, métamorphosé, se projette.

ChatGPT

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