L’Apothicaire

Dans l’antre mystique de l’apothicaire,
Arômes d’herbes et de potions s’entremêlent,
Des flacons scellés, des secrets qui révèlent,
Les remèdes cachés dans l’ombre légendaire.

L’échoppe aux mille senteurs, au parfum rare,
L’apothicaire manie les essences tel un prunellier,
Dans ses mains, le savoir des anciens se dévoile,
Ses gestes précis, une danse, un rituel salutaire.

Les élixirs magiques, aux vertus millénaires,
Dans des fioles serties, telles des éphémères,
L’apothicaire compose le baume des âmes.

Sous la lueur des bougies, dans la pénombre,
L’apothicaire, gardien des savoirs en flamme,
Dévoile l’art sacré de guérir les hommes.

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Les Lunettes Vertes

À travers les lunettes vertes, le monde s’anime,
Champ chromatique où la réalité se transforme,
Les verts éclatent, tels des joyaux qui réforment,
La vision colorée, une palette qui régénère.

Les arbres dansent en nuances, l’herbe sublime,
Le ciel azuré se teinte de reflets énormes,
Les lunettes vertes dévoilent des formes,
Un kaléidoscope vibrant, une mélodie intime.

Les visages prennent des teintes insoupçonnées,
Les regards scintillent, illuminent les journées,
À travers les lunettes vertes, la magie opère.

Un filtre d’optimisme, un prisme de douceur,
Les lunettes vertes révèlent un monde de fêtes,
Où chaque instant devient une aventure en couleurs.

ChatGPT

La petite fille au nez fendu

La petite fille au nez fendu, sur les pavés de Paris,
Traverse la ville grise, un conte sans détour,
Son visage marqué, témoin d’un lourd parcours,
Ses pas résonnent, mélodie des rues à l’infini.

Sur les pavés usés, elle écrit son récit,
Les regards la croisent, des éclats sans discours,
La petite fille, portant l’empreinte du jour,
S’avance dans la vie, un destin infini.

Ses yeux reflètent des étoiles de résilience,
Elle danse sur les pavés, brise la dissonance,
La petite fille, étoile d’une nuit sans fin.

Sur les pavés de Paris, elle trace sa voie,
La petite fille, énigme dans la transparence,
Son sourire, une étoile filante de joie.

ChatGPT

La Princesse et le Chevalier de fer

La princesse dans l’ombre, le chevalier de fer,
Elle captive par sa grâce, il éblouit par sa force,
Dans la vaste demeure, un destin qui s’amorce,
Leur histoire tissée comme une étoffe de lumière.

Le chevalier d’acier, protecteur et sincère,
Brandit son épée, gardien de la source,
La princesse, douce fleur, en son cœur l’endorse,
Une alliance éternelle, une épopée à célébrer.

Ils traversent des terres en quête d’aventures,
Les épreuves les forgent, éclatent leurs ratures,
La princesse et le chevalier, duo d’élégance.

Le fer du chevalier, l’éclat de sa confiance,
La princesse, éclairée par la flamme intérieure,
Un amour qui grandit, une éternelle romance.

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Songe d’une journée d’été

Songe d’une belle journée d’été au bord de la rivière,
Le soleil peint en or les flots qui scintillent,
Les rires des enfants, des éclats qui babillent,
Dans l’air, la douce mélodie d’une vie légère.

Les arbres inclinent leurs branches en prière,
Les fleurs exhalent des parfums qui chatouillent,
Sur l’onde, la danse des libellules qui voltigent,
Le temps s’étire, en une pause éphémère.

Des pique-niques enchantés, des rêves éphémères,
Des pas nus foulant l’herbe, la chaleur éphémère,
Les sourires éclatent comme des pétales déployés.

Au bord de la rivière, la journée se révèle,
Un tableau idyllique où le bonheur s’envole,
Songe d’été, éternel, en nos cœurs fidèles.

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Cinq Mongols fiers dans une Montgolfière

Cinq Mongols fiers dans une montgolfière,
Voyageurs intrépides, horizons à conquérir,
Leurs yeux scrutent l’azur, prêts à définir
Leur destin tracé dans cette aventure légère.

Les steppes infinies défilent en contrebas,
Le vent caresse la toile, tissant des histoires,
Cinq âmes unies, explorateurs de mémoires,
Dans le ciel vaste, s’étend un rêve là-bas.

Chacun porte en soi l’esprit du guerrier,
Mélange de traditions, de modernité,
Cinq Mongols fiers, partageant leur destinée.

Dans la montgolfière, un silence éloquent,
Symbole de liberté, de rêves déployés,
Cinq Mongols fiers, voguant vers l’inconnu puissant.

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Dans la forêt des arbres géants

Dans la forêt des arbres géants, rois des cieux,
Leurs branches, majestueuses, touchent les étoiles,
Un éden vert où murmurent mille émois,
Les frondaisons unissent leurs chants harmonieux.

Sous le dôme d’émeraude, un monde précieux,
Des troncs séculaires gardiens d’une mémoire,
Dans la danse du vent, une sérénité notoire,
La forêt des géants, sanctuaire silencieux.

Les rayons du soleil filtrent en caresses dorées,
Sur le sol moelleux, l’ombre des frondaisons s’étale,
Un ballet de feuilles, une symphonie étoilée.

Dans cette cathédrale naturelle, sans égale,
Chaque arbre est une sentinelle, un pilier sacré,
Dans la forêt des géants, la vie s’étale.

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L’homme de fer

L’homme de fer a perdu son cœur de métal,
Dans les dédales froids de la ville d’acier,
Sa poitrine, jadis impénétrable muraille,
S’ouvre aux émotions, fragiles lueurs.

Les rouages grincent, témoins du changement,
Le froid de l’acier s’adoucit lentement,
Des sentiments émergent, en doux crépitements,
L’homme de fer découvre l’écho du battant.

Son regard, jadis d’acier, s’illumine,
Les lueurs d’une humanité en chemin,
L’homme de fer, à présent, est en quête.

Il découvre la chaleur, les nuances divines,
Son cœur, jadis mécanique, palpite enfin,
L’homme de fer, métamorphosé, se projette.

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La Princesse au balcon

La princesse au balcon, regard dans l’azur,
Robe d’éther, elle contemple l’horizon,
Son royaume s’étend comme une floraison,
Douce souveraine, éclatante de candeur.

Les doux rayons du soleil caressent son cœur,
Dans la quiétude, elle tisse des oraisons,
Les vents murmurent des légendes en frissons,
La princesse au balcon, muse de splendeur.

Elle rêve, telle une étoile en son château,
De mondes lointains, d’un amour nouveau,
La princesse au balcon, captive de l’instant.

Ses yeux reflètent des étoiles en transe,
Elle est l’essence d’un rêve éblouissant,
La princesse au balcon, douce romance.

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Le Facteur sonnera trois fois

Le facteur sonnera trois fois, messager du sort,
Frappant à la porte de nos vies entrelacées,
Trois coups résonnant comme une destinée tracée,
Dans l’attente, le suspense, mystère qui dort.

Premier appel, écho d’un futur qui dort,
Second éveil, l’heure s’avance, dévoile des pensées,
Troisième carillon, clé de nos destinées,
Le facteur dépose des fragments d’histoires.

Trois fois la sonnette, trois actes en scène,
Révélant des nouvelles, douces ou obscènes,
Le facteur, porteur d’échos, sculpte le temps.

Trois fois, symbole d’un cycle qui s’entrelace,
Le facteur sonne, conteur d’un récit intense,
Trois battements, le cœur du destin s’élance.

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