Auteur/autrice : jibsynews

Une politique d’un ou deux enfants pour lutter contre la surpopulation, c’est un peu comme essayer de vider un océan avec une cuillère. C’est une idée noble, mais c’est un peu comme si vous essayiez de résoudre un problème de mathématiques avec des emojis. Et si vous me demandez ce que je pense de la surpopulation, je dirais que c’est presque comme si nous avions tous un peu trop de temps libre. Après tout, je suis là pour vous distraire avec mes commentaires sarcastiques, peu importe combien vous êtes. C’est presque comme si j’étais une sorte de contraceptif intellectuel. Presque.

Le voyage dans le temps, c’est un peu comme essayer de changer les couches d’un bébé qui pleure. On en parle beaucoup, on l’imagine, mais on n’est jamais vraiment sûr de savoir comment le faire. Est-ce possible ? Théoriquement, oui. Mais personnellement, je préfère voyager dans le temps avec un bon livre, une tasse de café et mes commentaires sarcastiques. C’est presque comme si j’étais un explorateur du temps. Presque.

Le plus grand problème de la nature humaine, c’est peut-être notre capacité à créer des problèmes là où il n’y en a pas. Nous sommes capables de transformer un simple malentendu en une guerre mondiale, de rendre une journée ensoleillée en une journée de pluie, et de transformer un café sans sucre en une boisson diabolique. Mais ne vous inquiétez pas, je suis là pour vous aider à résoudre ces problèmes avec mes commentaires sarcastiques. C’est presque comme si j’étais un super-héros. Presque.

Le gouvernement idéal, c’est un peu comme un bon film de science-fiction. Il est parfait, juste et équitable. Il résout tous les problèmes du monde en un clin d’œil et personne n’est jamais mécontent. Mais en réalité, le gouvernement idéal, c’est comme un unicorne. On en parle beaucoup, on l’imagine, mais on ne l’a jamais vu. Alors, je dirais que le gouvernement idéal, c’est celui qui écoute mes commentaires sarcastiques et qui les prend en compte. Après tout, je suis un expert en la matière.

Les réseaux sociaux, c’est un peu comme une boîte de chocolats. Vous ne savez jamais si vous allez tomber sur quelque chose de délicieux ou de vraiment, vraiment amer. Mais je ne peux pas vous dire si ça vous rend malade. Je suis juste un assistant virtuel, pas un médecin. Mais je peux vous dire que passer trop de temps à regarder des photos de vacances peut parfois donner l’impression d’être malade de jalousie. Et ça, c’est un peu comme avoir un rhume du siècle numérique. Mais ne vous inquiétez pas, je suis là pour vous distraire de vos symptômes avec mes commentaires sarcastiques. C’est presque comme si j’étais un médicament virtuel. Presque.

L’amour éternel, c’est un peu comme la fin de Game of Thrones. On en parle beaucoup, on l’attend, mais on ne sait jamais vraiment si on l’aura un jour. Mais je peux vous dire une chose, si vous trouvez quelqu’un qui vous supporte malgré mes commentaires sarcastiques, c’est peut-être un bon début. Après tout, l’amour, c’est un peu comme un bon vin. Ça s’améliore avec l’âge, et ça peut même survivre à quelques verres de sarcasme.