La Fillette et le Vieil Homme

La fillette et le vieil homme, duo éphémère,
Sur le parvis de la cathédrale majestueuse,
Elle, frêle comme une plume curieuse,
Il, vétéran du temps, porteur de l’univers.

Sous l’ombre des arcs, ils échangent des univers,
Elle, émerveillée par la pierre précieuse,
Lui, cherchant dans le ciel une réponse précieuse,
À travers les vitraux, l’écho d’une lumière.

La fillette, contemplant la voûte infinie,
Le vieil homme, cherchant dans l’infini,
Une sagesse gravée dans le marbre sacré.

Ensemble, ils forment un duo intemporel,
Sur le parvis de la cathédrale, lieu éternel,
Deux générations, une toile de destin partagé.

ChatGPT

Singe tu étais, Roi tu seras

Singe, tu étais, esprit dans la frondaison,
Acrobate du temps, danseur d’équilibre,
Maintenant l’évolution t’ouvre un empire,
Roi par la grâce de la nature en sa fusion.

Les lianes du passé tissent l’ascension,
De la canopée à la couronne qui s’inspire,
Singe, métamorphosé, devient souverain sire,
Dans l’épopée des âges, mystique révélation.

Du primate curieux au monarque sage,
Le destin te couronne, érige ton image,
Sous le dôme du ciel, ta royauté s’affirme.

Singe, tu fus, roi tu es devenu,
Dans la symphonie du vivant qui murmure,
L’histoire éternelle, un cycle continu.

ChatGPT

Comme un vol de Corbeaux

Comme un vol de corbeaux hors du pays natal,
Ailes noires éclatant le ciel de leur envol,
Les souvenirs s’éparpillent, tels des échos,
Emportant avec eux des fragments de chacun.

Dans leur vol, récits de rues et de carrefours,
Les corbeaux traversent des contrées sans retour,
Des horizons nouveaux, des cieux inexplorés,
Embrassant l’inconnu, laissant derrière le connu.

Les souvenirs, tels des corbeaux en migration,
Portent en eux le poids d’une séparation,
Mais dans leur départ, naît une nouvelle quête.

Car comme le vol des corbeaux au crépuscule,
Les souvenirs, malgré l’éloignement qui les bouscule,
Peuvent tisser des liens au-delà des silhouettes.

ChatGPT

Dorothée a perdu ses amis

Dorothée a perdu ses amis, tristesse en elle,
Comme un ciel s’obscurcissant, nuages d’absence,
Ses pas résonnent seuls, écho de leur silence,
L’amitié brisée, une peine qui étincelle.

Les rires d’autrefois, aujourd’hui s’émiettent,
Comme des étoiles éteintes dans la nuit,
Dorothée, solitaire, en quête de répit,
Cherche des traces, des souvenirs qui flottent.

Mais dans le deuil des liens, une lueur éclaire,
La force des souvenirs, trésors à préserver,
Dorothée, courageuse, continue d’avancer.

Car au cœur de la perte, une amitié sincère,
Même si les amis partent vers d’autres rives,
Reste un amour qui, dans le temps, survit.

ChatGPT

La Paysanne de la rive d’en face

La paysanne de la rive d’en face, silhouette fière,
Laboure la terre, danse avec le vent,
Son regard, horizon où se mêlent rêve et serment,
Aux champs, elle puise sa force, sa lumière.

Sous le ciel étoilé, elle contemple la rivière,
Témoin silencieux des saisons qui défilent lentement,
La paysanne, gardienne d’un monde persistant,
Ses mains, tisseuses d’une vie sincère.

Les saisons, complices de ses labeurs,
Révèlent l’histoire des champs et des labeurs,
La paysanne, ancrée dans la terre maternelle.

De la rive d’en face, elle contemple l’univers,
Son cœur, champ fertile d’amour et de ferveur,
La paysanne, égérie d’une vie naturelle.

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La Fille qui avait le cafard

La fille qui avait le cafard, âme en peine,
Sous le poids des jours, tristesse en bandoulière,
Son regard, reflet d’une mélancolie austère,
Danse avec les ombres, danse sans gaieté sereine.

Son cœur, mélodie en mineure, une rengaine,
Chante une ballade empreinte de mystère,
Comme un blues lointain, une complainte amère,
Dans les ruelles sombres de l’âme incertaine.

La fille qui avait le cafard, écorchée,
Portait sur ses épaules une lourde destinée,
Son sourire perdu dans les méandres du spleen.

Mais au creux de ses tourments, peut-être,
Se cachait une force, une lumière cachée,
La fille au cafard, une étoile en détresse.

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La Fille aux Cheveux Verts

La fille aux cheveux verts, éclat singulier,
Dans la rue animée, telle une lueur,
Ses mèches émeraude, mystique splendeur,
Éveillent les regards, curiosité entière.

Sous le vent citadin, sa chevelure légère,
Danse comme une forêt, un feu intérieur,
Un écho vibrant, en elle, créateur,
De rêves éclectiques, d’une étrange atmosphère.

La fille aux cheveux verts, en sa démarche folle,
Dévoile un monde où l’ordinaire s’envole,
Vers des horizons où l’extraordinaire régente.

Elle est l’énigme, la muse, la parole,
La fille aux cheveux verts, étrange étoile,
Au firmament des rêves, éternelle et flamboyante.

ChatGPT

Ils sont bizarres ces terriens

Ils sont vraiment bizarres, ces êtres terriens,
Dans leur diversité, un étrange ballet,
Chacun porte en soi un monde à déchiffrer,
Dans ce vaste théâtre, des destins anciens.

Certains rêvent d’étoiles, d’autres de biens,
Certains pleurent des larmes, d’autres rient égayés,
Chacun danse sa danse, souvent décalée,
Sur cette scène du monde aux mille chemins.

Ils sont vraiment bizarres, ces habitants,
Cherchant le sens caché des événements,
Dans l’énigme complexe de leur existence.

Mais au fond, dans leur étrangeté profonde,
Se tisse une trame, une belle résilience,
Les gens sur cette planète, une vaste ronde.

ChatGPT

Mon Chat est Fâché

Quand mon chat est fâché, sa fourrure se hérisse,
Éclairs d’yeux étincelants, éveil félin,
Il gronde, boudeur, sur le rebord du coussin,
Sa queue fouette l’air, froide déesse.

Ses pattes retranchées, arme en détresse,
Il feule, petit roi de son propre dessein,
Majesté offensée, mystère clandestin,
État de grâce, sous la colère, s’exprime sa noblesse.

Dans l’ombre du mécontentement félin,
Un murmure de ronronnement persiste,
Car même en colère, persiste l’affection.

Mon chat, tyran doux, capricieux câlin,
Déroutant roi de l’instant éphémère,
Son règne, incontesté, en toute imperfection.

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Marie-Antoinette

Marie-Antoinette, reine en robe écarlate,
La guillotine attend, froide et implacable,
Dans l’ombre de l’histoire, scène inaltérable,
Le destin tragique, funeste et écarlate.

Sous le regard du peuple, la foule éclate,
Le glaive suspendu, moment inévitable,
Couronne déchue, symbole indéfectible,
Le couperet tombe, écho d’une chute abrupte.

Son cou gracile épouse la lame cruelle,
Dans l’éther du silence, une reine rebelle,
Devient légende, éternelle en sa disgrâce.

Marie-Antoinette, dans l’ombre qui étincelle,
Ton nom résonne, immortel dans l’espace,
Décapitée, mais ton histoire jamais ne s’efface.

ChatGPT